Tout le monde rêve de relations simples, belles, harmonieuses, faciles et fluides, sans efforts et sans prise de tête.

Tout le monde veut vivre un amour simple et léger.

Tout le monde veut la chance et le bonheur de vivre d’heureuses relations.

Sais-tu que la résolution heureuse des tracas de la relation passe aussi par un constat douloureux ? Naturellement nous avons pris l’habitude de juger l’autre et le jugement est souvent sans appel.

L’autre nous en veut, il fait exprès pour nous embêter de nous enquiquiner ! Et  là c’est la version soft !

Difficile pour la majeure partie d’entre nous de gérer la frustration. Un peu comme des enfants quand ils disent à leur parent qui dit non ou qui ne répond pas à une attente : « Tu es méchant-e ! »

Nous choisissons le jugement et la culpabilité avant

la présomption d’innocence.

Alors….

Aujourd’hui je voudrais te rappeler quelque chose :

Tu es un cadeau, tu es un-e porte bonheur, une chance, un trésor unique et précieux.

C’est une chance de te connaître et de vivre auprès de toi ! C’est un bienfait.

Peux-tu le voir, le sentir, le goûter ?

Ne laisse personne te faire croire le contraire !

Mais tu sais quoi ?

Les autres aussi sont des cadeaux, des portes bonheurs, des chances, des trésors uniques et précieux…

Ah pas tous me diras-tu ! Pas tous peut-être ? Ça se discute.

Mais regardons déjà un peu celles et ceux avec qui tu vis, que tu as choisi à un moment donné, que tu as aimé et qui peut-être aujourd’hui te courent sur le système ?

Bon commençons par soi ! Peut-tu croire un peu plus en toi? Prendre conscience de la belle personne que tu es?

Pour prendre conscience de cette belle personne à l’intérieur de toi, commencer par apprendre a bien se connaître, ça aide. Bien se connaître, c’est apprendre à faire de meilleurs choix pour soi, se faire plus confiance, se comprendre, s’occuper de ses besoins et oser être soi. Ainsi commence le cercle vertueux de la confiance en soi !

Si tu as besoin d’aide pour cette partie là, tu as mes coordonnées en fin d’article, je serai heureuse de t’accompagner.

Choisir de se voir comme un cadeau, une chance, c’est aussi faire le choix de s’aimer plutôt que d’avoir peur de soi et peur de l’autre, de son jugement sur soi. C’est choisir de s’écouter, de prendre en considération ce qui se passe en soi.

Choisir de se sentir innocent.

Choisir l’innocence pour arrêter de se sentir victime d’un-e coupable aussi. Sortir de la dualité VICTIME/COUPABLE.

C’est, instant après instant, se poser la question « Si je choisi l’amour et l’innocence, si je choisis de m’aimer et d’aimer, qu’est ce que je dis ou fait pour moi dans l’instant ? »

Ose être toi, tu es merveilleux-se tel que tu es !

Ose exprimer ce qui te traverse, tu as le droit et c’est bien comme ça.

Tu as le droit d’être vulnérable et fragile, cela fait de toi quelqu’un d’humain et c’est super. Tu es un cadeau pour ça aussi, une chance. Les autres aussi ont le droit d’être innocent, vulnérables et fragiles et d’exprimer ce qui les traverse sans être jugés. La beauté d’un être ce n’est pas d’être toujours fort, c’est aussi cette délicatesse et cette vulnérabilité qui fait choisir la tendresse.

Choisir d’être un cadeau pour soi et pour les autres c’est aussi admettre que les autres sont aussi des cadeaux. Et bien oui, il n’y a pas de raisons !

Le défi n’est pas si difficile mais il est de taille.

Il consiste à rester en alerte pour éviter les pièges et les illusions. Il consiste à abandonner la croyance que l’autre est ton ennemi, qu’il y a un combat à mener duquel il sortirait un gagnant et un perdant. Il consiste enfin à abandonner les illusions que tu te fais sur toi et sur l’autre/les autres.

Tu peux relire si besoin l’article sortir du rapport de force.

Pour cela tu as une clé précieuse. L’alerte est donnée par tes émotions et le piège celui de l’interprétation.

Il ne s’agit donc pas d’éviter le conflit, le défi, la difficulté. Ni de  gommer tes « défauts » ou ceux des « autres ». Il s’agit plutôt d’observer les faits, ce qu’il se passe en toi, ce que fait, dit, montre l’autre et aussi ce qu’il ne dit ou ne montre pas.

PEUT-TU:

Faire une pause? Prendre du recul, prendre conscience de ce qu’il se passe? Peux-tu prendre en considération ce qu’il se passe pour toi? Et pour l’autre ?

De ce qui se passe dans ton théâtre intérieur, de ce qui se passe à l’extérieur et de tes attentes et besoin dans la situation ? Des attentes et besoins de  l’autre ?

Si tu te sens blessé-e, si tu as mal, prends le temps de te donner de la compassion et de prendre en considération ta douleur ainsi que les parties de toi blessées. Prends le temps de t’accueillir avec douceur et tendresse. Prends le temps dont tu as besoin.

ENSUITE, peut-être : Choisir qui tu veux être !

Veux-tu avoir raison ? Veux-tu gagner ? Peux-tu accepter de ne pas savoir ? Peux-tu accepter de simplement écouter l’autre, le-la regarder, au risque de te rendre compte que tu t’es trompé-e ? Quel besoin cherches-tu à satisfaire ? Qui veux-tu être dans cette situation et que veux-tu pour la relation ? Peut-tu poser des questions plutôt que de penser savoir?

Et si simplement il n’y avait pas de faute ?

Ni chez toi, ni chez l’autre ?

Une erreur de jugement tout au plus ?

Qu’est ce que cela changerait ?

Au plaisir de te lire, te revoir ou te rencontrer.

Stéphanie BUONONATO

Art thérapie et coaching au 11, place de l’église 42600 MONTBRISON

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